Films et séries TV
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Films et séries TV
J'inaugure le topic avec Melancholia
Mouais...
Un prologue tout en symbolisme sous forme de rêve puis une première partie embourbé dans une tentative de mise en place du personnage de Justine, la super-héroïne, et le parallèle de sa maladie (la mélancolie pour ceux du fond) avec la planète perçu à des kilomètres d'une platitude certaine et parfois d'une certaine maladresse qui peut faire sourire. Un questionnement sur la place, l'acceptation du bonheur et aussi et surtout du désir chez une personne qui ne peut l'accueillir car pour elle, elle n'y a pas droit, elle ne le possède pas, il ne peut exister en aucun cas pour elle. On voit défiler un beau casting mais, c'est tout...
La seconde partie est intéressante et le thème apocalyptique traité de façon originale je trouve. Par contre la fin, avec l'espèce de sermon d'une soeur à une autre, mère affolée ne pouvant se résigner aux actes les plus désespérément illogiques auquels la plupart d'entres nous seraient assurément confrontés, est un peu trop péremptoire surtout venant d'une personne dont la maladie est la première source de biais et d'erreurs en terme de jugement d'attribution et de raisonnements corrompus par dissocitation des émotions. Du coup, ça tombe dans une espèce de cliché fataliste où la mère n'en est d'ailleurs plus une, remplacée par sa soeur car c'est la "folle" qui devient censée et rassurante dans cette confrontation avec la mort, inéluctable. On passe alors du cinéma d'auteur limite anticipationniste au film d'auteur misanthropico-intellectualiste "Lars Von trier-like". Elle trouve enfin sa place, elle désire même cette planète, ENFIN, elle veut fusionner avec. Bref, c'est franchement transparent et cousu de fils blancs.
Ni déçu, ni surpris bien que le thème de la planète soit à creuser je trouve et a le don de donner des idées.
Mouais...
Un prologue tout en symbolisme sous forme de rêve puis une première partie embourbé dans une tentative de mise en place du personnage de Justine, la super-héroïne, et le parallèle de sa maladie (la mélancolie pour ceux du fond) avec la planète perçu à des kilomètres d'une platitude certaine et parfois d'une certaine maladresse qui peut faire sourire. Un questionnement sur la place, l'acceptation du bonheur et aussi et surtout du désir chez une personne qui ne peut l'accueillir car pour elle, elle n'y a pas droit, elle ne le possède pas, il ne peut exister en aucun cas pour elle. On voit défiler un beau casting mais, c'est tout...
La seconde partie est intéressante et le thème apocalyptique traité de façon originale je trouve. Par contre la fin, avec l'espèce de sermon d'une soeur à une autre, mère affolée ne pouvant se résigner aux actes les plus désespérément illogiques auquels la plupart d'entres nous seraient assurément confrontés, est un peu trop péremptoire surtout venant d'une personne dont la maladie est la première source de biais et d'erreurs en terme de jugement d'attribution et de raisonnements corrompus par dissocitation des émotions. Du coup, ça tombe dans une espèce de cliché fataliste où la mère n'en est d'ailleurs plus une, remplacée par sa soeur car c'est la "folle" qui devient censée et rassurante dans cette confrontation avec la mort, inéluctable. On passe alors du cinéma d'auteur limite anticipationniste au film d'auteur misanthropico-intellectualiste "Lars Von trier-like". Elle trouve enfin sa place, elle désire même cette planète, ENFIN, elle veut fusionner avec. Bref, c'est franchement transparent et cousu de fils blancs.
Ni déçu, ni surpris bien que le thème de la planète soit à creuser je trouve et a le don de donner des idées.
Nyght- Messages : 76
Date d'inscription : 12/09/2011
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